à J-André Caldéron
Le jeune homme blanchi de mousse, derrière la cloison, rase sa barbe-broussailles.
Sous ce grenier pentu perceront les tiges de l'été.
Je persiste dans les mares du café éternel, remède sur le temps infidèle.
Je bois aussi son haleine de fumée.
Inédit. 20.01.1976
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