à Cathy Rousseaux
A l'instant flou,le corps repu des fatigues musculaires,je me glisse dans l'air zébré (pluie d'obliques éparpillées),aussi, claquées sur la vitreet les fleurs de la filleaux yeux impairs, à l'autre coin de la surface d'aggloméré.Je m'abouche au café pour avaler nos peines.Gencives cuites.Epingles dardées contre les brûlures du rasoir.L'observer, l'écorce froide.Mais le cerveau aimant, à épier des solutions d'amour ; précipite.Phrase tombée comme si l'esprit coulait:"Au chemin des miroirs et des herbes folles"Roule l'image des vitresbleues (taches des sulfatescontre la treille) briséesde silex, cachées dans lespaquets d'orties.Je me suis retourné jusqu'à l'origine.Sur les souvenirs on écrit leur échec.ageJ'ai perdu patiemment le mir de la fin du PUZZIEacleSeuls valides, les flashes inattendus,un crispement d'ailesune odeur à ton ventre,un œil fermé sur le sel…La fille pleurait toujours, impossible secours,parti.
Inédit, 04 février 1975
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